On a besoin d’idées fausses ; la très grande idée fausse est dynamogène et comme telle convient.
L’écart entre le réel et l’illusoire, plus il est grand, plus il suscite et nécessite de l’ardeur, plus elle est attendue.
Dans la mesure où l’idée, la doctrine est utopique (mais qui serait si commode, excellente, satisfaisante et salutaire si elle n’était fausse et inapplicable ou mythique), elle oblige à l’élan… Les disciples afflueront, réchauffés, chaleureux qui lui sacrifieront esprit, autonomie, existence.
Chaque époque a sa croyance broyeuse, large mouvement d’esprit, fait de plusieurs.
Le temps pour beaucoup est long à passer dans l’attente d’une autre onde à la prometteuse rénovation. Enfin elle arrive et le cycle reprend.
L’écart entre le réel et l’illusoire, plus il est grand, plus il suscite et nécessite de l’ardeur, plus elle est attendue.
Dans la mesure où l’idée, la doctrine est utopique (mais qui serait si commode, excellente, satisfaisante et salutaire si elle n’était fausse et inapplicable ou mythique), elle oblige à l’élan… Les disciples afflueront, réchauffés, chaleureux qui lui sacrifieront esprit, autonomie, existence.
Chaque époque a sa croyance broyeuse, large mouvement d’esprit, fait de plusieurs.
Le temps pour beaucoup est long à passer dans l’attente d’une autre onde à la prometteuse rénovation. Enfin elle arrive et le cycle reprend.