“[…] - ce n'est rien de tout cela qui provoque dans mon esprit cette nausée, chez lui si fréquente, née de la dégradante quotidienneté de la vie. Ce sont les gens qui m'entourent d'ordinaire, ce sont les âmes qui, me méconnaissant, me connaissent par le contact et les paroles de tous les jours - c'est tout cela qui saisit mon esprit à la gorge pour y mettre ce nœud salivaire de dégoût physique. C'est la monotonie sordide de leur vie, parallèle à la couche extérieure de la mienne, c'est leur intime conviction d'être mes semblables - c'est cela qui m'habille d'un costume de forçat, qui me place dans une cellule de pénitencier, qui fait de moi un être apocryphe et un mendiant.”