A l'instant où ma main touche ton front, à l'instant où je sens tes cheveux sous mes doigts, c'est un frisson, j'ai une joie du ciel, je me dis : dans tout ce monde de noirceur qui m'enveloppe, dans cet univers de solitude, dans cet immense écroulement obscur où je suis, dans cet effrayant tremblement de moi et de tout, j'ai un point d'appui, le voilà. C'est lui. C'est toi.”