Les hommes marchent par des chemins divers. Qui les suit et les compare verra naître d’étranges figures ; figures qui semblent appartenir à cette grande écriture, que l’on rencontre sur la coque des œufs, sur les ailes des oiseaux, dans les ombres des nuages, dans les pattes de l’araignée, à l’intérieur et à l’extérieur des montagnes, des galets, des plantes, des animaux et des hommes, dans les limailles qui entourent l’aimant, et aussi dans les étranges conjonctures du hasard.